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Rôle principal :
Lors de la germination, le taux d’acide abscissique dans la graine diminue naturellement, ce qui permet à d’autres hormones (comme les gibbérellines?) de stimuler la croissance de l’embryon. Certains traitements (stratification? à froid, trempage) aident à réduire le niveau d’ABA et à lever la dormance.
Exemples :
Rôle :
Mécanismes :
Exemple :
Exemple concret : quand vous cultivez deux variétés de tomates à proximité, les abeilles peuvent transférer du pollen d’une variété à l’autre, créant des graines hybrides. C’est l’allogamie en action – ce qui explique pourquoi les graines récoltées peuvent donner des plantes légèrement différentes de la plante mère.
(ensemble des organes femelles).
Structure :
Rôle :
Nombre et disposition :
Exemple :
Quand vous observez l’intérieur d’une fleur de tomate ou de rose, les petites structures jaunes ou orange qui entourent le centre sont les étamines de l’androcée – ce sont elles qui produisent le pollen jaune que vous voyez sur vos doigts quand vous touchez la fleur.
Rôle :
Distribution chez les plantes :
Caractéristiques :
Exemple :
Chez certaines variétés de concombre ou courge, vous observerez des fleurs jaunes qui ne produiront pas de fruit (fleurs staminates mâles) et d’autres qui développeront le fruit typique. Cette coexistence caractérise une plante androdioïque.
Exemples : Graminées (blé, maïs, herbes), noisetier, bouleau, chêne, oseille, ortie.
L’inverse est l’entomogame? (pollinisation par insectes).
Caractéristiques principales :
Classification :
Exemple :
Rôle :
Structure :
Caractéristiques :
Exemple :
Auto-infertile? (ou autostérile) désigne une plante qui ne peut pas se féconder elle-même pour produire des graines fertiles. En d’autres termes, elle nécessite du pollen provenant d’une autre plante de la même espèce pour que la pollinisation soit réussie et que les graines soient viables. Ce mécanisme favorise la diversité génétique en empêchant l’autofécondation? et en nécessitant une pollinisation croisée entre différents individus.
Exemples :
Rôle :
Caractéristiques :
Exemple :
Exemple concret : quand vous cultivez des tomates, chaque fleur produit ses propres graines sans avoir besoin d’une autre plante de tomate à proximité – contrairement aux courges ou concombres qui ont besoin de pollinisateurs pour croiser différentes fleurs.
Rôle :
Mécanismes :
Exemple :
Rôle :
Composition :
Exemple :
Exemple concret : quand vous regardez un bouton de rose fermé, ce que vous voyez en premier sont les sépales verts qui forment le calice – ils enveloppent complètement les pétales roses à l’intérieur, un peu comme un petit paquet cadeau qui se déploiera progressivement.
Caractéristiques :
Exemples :
Famille caractéristique : Les Asteraceae (anciennement Composées : marguerites, chardons, pissenlits, tournesols) sont principalement caractérisées par cette inflorescence en capitule.
Fonction : Produire les ovules et les transformer en graines après fécondation.
Analogie : Le carpelle est au pistil ce que la feuille ordinaire est aux autres parties de la plante — une unité de base modifiée pour la reproduction.
Note : Les termes carpelle et pistil sont souvent utilisés de manière interchangeable, bien que techniquement le carpelle soit l’unité élémentaire et le pistil soit l’ensemble de tous les carpelles (libres ou fusionnés).
Caractéristiques :
Exemples :
À ne pas confondre : Bien que ressemblant à une graine, la caryopse est techniquement un fruit, pas une graine.
(mariage/union). Dans une fleur cléistogame, la pollinisation et la fécondation se produisent à l’intérieur de la fleur encore close, sans intervention de pollinisateurs externes. C’est une forme d’autofécondation? garantie où la plante s’autopollinise en toute sécurité.
Rôle :
Caractéristiques :
Exemples :
Rôle :
Structure :
Exemples par diversité :
Exemple concret : quand vous admirez une rose rouge, vous regardez sa corolle – c’est cet ensemble de pétales délicats qui crée la beauté caractéristique de la fleur. Chez une tomate, la corolle est la petite couronne jaune de pétales soudés que vous voyez avant la formation du fruit.
Rôle :
Nombre :
Exemple : quand vous semez un haricot, les deux « boules » que vous voyez émerger sont les deux cotylédons.
Un cultivar est une variété de plante qui a été sélectionnée et cultivée pour des caractéristiques spécifiques et stables. Le terme vient de la contraction de "cultivated variety" en anglais, et désigne une plante qui ne se retrouve pas à l’état sauvage mais qui est reproduite et stabilisée en horticulture.
Les cultivars peuvent être créés par sélection naturelle ou par hybridation.
Les cultivars sont souvent notés avec un nom de variété entre guillemets simples, comme dans Agastache ’Apache Sunset’.
Contrairement aux hybrides F1, qui peuvent perdre leurs caractéristiques dans les générations suivantes, un cultivar stabilisé conserve ses attributs spécifiques même au fil des générations.
Pour comprendre ce qu’est un hybride F1, consultez donc cet article !
Rôle :
Caractéristiques :
Exemple :
Exemple concret : quand vous cultivez des épinards, certains plants produisent exclusivement des fleurs mâles tandis que d’autres produisent des fleurs femelles et des graines. Seules les plants femelles, si elles sont pollinisées par les plants mâles à proximité, pourront former des graines pour l’année suivante.
Avantages :
Inconvénient :
L’inverse est monoïque? (une même plante porte à la fois des fleurs mâles et femelles).
Un élaiosome? est une excroissance charnue, riche en lipides et en protéines, que l’on trouve sur certaines graines ou fruits. Il joue un rôle clé dans la dispersion des graines par les fourmis, un mécanisme appelé myrmécochorie?.
La chélidoine (Chelidonium majus).
Les violettes (Viola spp.).
Certaines espèces d’euphorbes et d’acacias.
L’élaiosome est donc une adaptation écologique permettant une meilleure dispersion des graines grâce à la coopération involontaire des fourmis.
Exemples selon le type de fruit :
Caractéristiques des fleurs entomogames :
Exemples : Roses, tomates, campanules, fleurs de cerisier, sunflowers, trèfles, etc.
Parties :
Terme collectif : L’ensemble des étamines d’une fleur s’appelle l’androcée?.
Caractéristiques :
Exemples :
Rôle :
Caractéristiques :
Exemple :
Exemple concret : quand vous cultivez une tomate isolée sans autres plants à proximité, la geitonogamie permet au plant de se reproduire et de former des fruits sans pollinisateur extérieur, car les abeilles ou autres insectes peuvent naturellement transférer le pollen d’une fleur à l’autre sur le même plant.
Rôle principal :
Les gibbérellines travaillent en équilibre avec l’acide abscissique : quand le rapport entre gibbérellines et ABA augmente en faveur des gibbérellines, la germination commence.
Caractéristiques :
Quand vous semez une "graine" de blette ou de betterave, vous semez en réalité un glomérule qui peut produire 2 à 5 plantules au même endroit ! C’est pourquoi il faut souvent éclaircir les semis de blette et betterave.
Rôle :
Structure :
Types :
Exemple :
Exemple concret : quand vous ouvrez une tomate, les petites cavités contenant les graines correspondent aux chambres de l’ovaire du gynécée original. Sans ce gynécée fonctionnel, il n’y aurait ni fruit ni graines.
Rôle :
Caractéristiques :
Exemple :
Exemple concret : dans un pied de marguerite gynodioïque, les petites fleurs femelles au centre peuvent être stériles en pollen, tandis que les fleurs hermaphrodites de la couronne produisent pollen et graines. Cela assure la reproduction même si les pollinisateurs sont rares.
Rôle :
Mécanismes d’herkogamie :
Exemple :
Exemple concret : quand une abeille visite une fleur de primevère longistyle, elle se couvre de pollen des étamines basses ; en visitant une fleur brevistyle d’un autre pied, le pollen touche le stigmate situé plus haut – l’herkogamie force ainsi la pollinisation croisée entre deux plantes différentes.
On dit aussi qu’une fleur hermaphrodite est une fleur bisexuée ou fleur complète.
À l’inverse, certaines plantes produisent des fleurs unisexuées : soit uniquement mâles (avec seulement des étamines), soit uniquement femelles (avec seulement un pistil). C’est le cas par exemple des courges, des kiwis ou des noisetiers.
Version plus technique :
Fleur hermaphrodite (du grec hermaphroditos, combinant Hermès et Aphrodite) : Fleur possédant dans une même structure florale les deux types d’organes reproducteurs : l’androcée? (ensemble des étamines productrices de pollen) et le gynécée? (ensemble des carpelles? formant le pistil). Cette configuration permet théoriquement l’autofécondation?, bien que de nombreux mécanismes (dichogamie?, auto-incompatibilité) favorisent la pollinisation croisée.
Rôle :
Caractéristiques :
Exemple :
Exemple concret : quand vous cultivez une tomate en pot sur un balcon sans pollinisateurs visibles, la fleur se pollinise elle-même grâce à son hermaphroditisme – les étamines libèrent le pollen qui féconde le carpelle de la même fleur, produisant ainsi des tomates sans intervention extérieure.
Dans le contexte des fleurs, on parle d’hétérochronie florale : c’est quand les différentes parties reproductrices d’une fleur n’arrivent pas à maturité simultanément. Par exemple, dans la campanule à grandes fleurs, les étamines? (organes mâles) mûrissent et libèrent leur pollen plusieurs jours avant que le stigmate? (organe femelle) soit prêt à le recevoir. Ce décalage temporel empêche la fleur de se féconder elle-même.
L’hétérochronie est un concept plus large que la dichogamie? : la dichogamie est un type spécifique d’hétérochronie florale qui concerne la maturité des organes sexuels.
Rôle :
Types principaux :
(salicaire)
Exemple :
: la fleur « pin-eyed » (à long style) a les étamines basses, tandis que la fleur « thrum-eyed » (à court style) a les étamines hautes. Un pollinisateur visitant successivement ces deux types de fleurs transfère efficacement le pollen entre elles.
Exemple concret : quand vous semez des primevères et que vous remarquez que certaines fleurs ont le style qui dépasse et d’autres non, c’est l’hétérostylie en action – la nature s’assure que vous ne pouvez pas vous féconder vous-même !
Les voiles? évitent le croisement entre variétés.
Exemples :
Rôle :
Manifestations :
Exemple :
: comme le poisson-clown ou les labres, changent de sexe en fonction de la hiérarchie du groupe ou de l’absence de partenaire
Exemple concret : chez le poisson-clown, si la femelle dominante du groupe disparaît, le mâle dominant change de sexe pour devenir femelle, tandis qu’un mâle subordiné devient reproducteur mâle – un mécanisme de métagynie garantissant la survie du groupe.
Rôle :
Caractéristiques :
Exemple :
Exemple concret : quand vous observez une fleur de lis, remarquez que le pollen s’écoule des anthères? bien avant que le stigmate (au centre de la fleur) ne soit collant ou réceptif – cette séparation temporelle garantit que la lis ne se pollinise pas elle-même.
Rôle :
Caractéristiques :
Exemples :
Exemple concret : quand vous cultivez du maïs, les fleurs mâles (panicules terminales) sont au sommet de la plante et produisent le pollen, tandis que les fleurs femelles (épis) sont plus bas sur la tige et recevront le pollen pour produire les grains.
Exemples : Courge, maïs, noyer, sapin, épicéa, noisetier, châtaignier, pin.
Avantages :
Caractéristique :
L’inverse est dioïque? (mâles et femelles sur des plants différents).
Les mycorhizes, c’est une alliance entre les racines des plantes et des champignons du sol. Ces champignons viennent coloniser les racines et créent un réseau souterrain qui aides l’absorption des nutriments (surtout le phosphore et l’azote) et de l’eau.
En échange, la plante leur file des sucres qu’elle produit grâce à la photosynthèse. Ce partenariat a plein d’avantages : il aide les plantes à mieux supporter les coups durs comme la sécheresse, les sols pauvres ou encore les attaques de pathogènes.
Il existe plusieurs types de mycorhizes, mais les plus courantes sont :
Les mycorhizes jouent un rôle clé dans la fertilité des sols et la santé des écosystèmes.
La myrmécochorie? est un mode de dispersion des graines par les fourmis. Ce terme vient du grec myrmex (fourmi) et khoros (dispersion). C’est une interaction mutualiste entre certaines plantes et les fourmis, où chaque partie en tire un avantage.
Exemples de plantes utilisant la myrmécochorie :
La chélidoine (Chelidonium majus).
Les violettes (Viola spp.).
Certaines euphorbes.
Les anémones (Anemone spp.).
La myrmécochorie est un excellent exemple de coopération entre les plantes et les animaux .
Caractéristiques :
Exemples :
Terme apparenté : La nouaison réussie = "noue bien" (beaucoup de fruits se forment). Une mauvaise nouaison = peu de fruits se forment (peut être due au manque de pollinisateurs, températures défavorables, stress hydrique).
Nucule? : Fruit sec et indéhiscent (qui ne s’ouvre pas) contenant une seule graine, caractérisé par une paroi très épaisse, dure et souvent ligneuse ou osseuse. La nucule est une forme spécialisée d’akène? avec une paroi beaucoup plus épaisse et plus robuste. La distinction entre le fruit et la graine à l’intérieur est généralement très claire, contrairement à l’akène où elle est flue.
Caractéristiques :
Exemples :
À ne pas confondre :
Caractéristique : Tous les pédoncules ont approximativement la même longueur, ce qui place les fleurs au même niveau, formant une plate-forme.
Exemples :
Particularité : Le pappus du pissenlit est si connu que les enfants soufflent dessus pour "faire un vœu" — c’est en réalité le mécanisme de dispersion des graines !
Fonction : Protéger les graines en développement et faciliter leur dispersion.
Exemples selon le type de fruit :
La phytoremédiation? est une technique écologique de dépollution qui utilise les plantes pour nettoyer les sols, l’eau et parfois même l’air. Ce procédé repose sur les capacités naturelles des végétaux et des micro-organismes associés à absorber, stabiliser, décomposer ou transformer les polluants présents dans l’environnement. Cette méthode est particulièrement efficace pour réduire la contamination causée par des substances telles que les métaux lourds, les hydrocarbures, les pesticides ou encore les produits chimiques industriels.
Les principales formes de phytoremédiation incluent la phytoextraction, où les plantes absorbent les polluants dans leurs racines et les accumulent dans leurs parties aériennes, permettant ensuite leur récolte et leur élimination. La phytostabilisation consiste à réduire la mobilité des polluants dans le sol pour éviter leur dispersion, notamment vers les nappes phréatiques. La phytodégradation repose sur la décomposition des polluants organiques grâce à l’action combinée des plantes et des micro-organismes présents dans leur rhizosphère. La rhizofiltration, quant à elle, utilise les racines pour filtrer les polluants présents dans l’eau, tandis que la phytovolatilisation transforme certains polluants en composés gazeux relâchés dans l’atmosphère.
La phytoremédiation présente de nombreux avantages. Elle est respectueuse de l’environnement et beaucoup plus économique que les techniques industrielles de dépollution. En outre, elle permet de réhabiliter des sites contaminés tout en les rendant esthétiquement agréables grâce à la présence de végétation. Cependant, cette méthode a aussi ses limites : elle peut être lente, nécessitant plusieurs années pour obtenir des résultats significatifs, et son efficacité varie selon la nature des polluants et des plantes utilisées. Elle n’est pas adaptée aux environnements fortement contaminés où les plantes ne peuvent survivre.
Parties du pistil :
Fonction : Capturer le pollen, le guider vers les ovules, et produire les graines après fécondation.
Terme alternatif : Le pistil est aussi appelé carpelle? lorsqu’il est formé d’une seule feuille carpellaire. Quand plusieurs carpelles sont soudés, on parle de pistil composé.
Rôle :
Systèmes reproducteurs présents :
Distribution :
Exemple :
Mécanisme :
Les étamines mûrissent en premier et expulsent le pollen
Quelques jours ou heures plus tard, le stigmate devient réceptif au pollen
Ce timing éloigné évite que la fleur se féconde elle-même
Les insectes pollinisateurs transportent le pollen vers d’autres fleurs
Terme apparenté : Protogyne est l’inverse (stigmate réceptif avant la maturité des étamines).
Exemple : La campanule à grandes fleurs (Campanula medium) est protandre.
Le purin? est une fermentation de plantes qui permet de soigner les plantes de façon naturel.
Rôle :
Caractéristiques :
Exemple :
Exemple concret : quand vous observez un ginkgo mâle en automne produisant énormément de pollen, toutes ses fleurs sont staminates, elles ne produiront jamais de fruit, contrairement aux pieds femelles qui portent les fruits odorants.
Pourquoi stratifier ?
Certaines graines possèdent une dormance hivernale : elles sont programmées pour ne pas germer en automne, même si les conditions semblent favorables. La stratification à froid « casse » cette dormance et signale à la graine que l’hiver est passé et que le printemps arrive.
Comment faire ?
Plantes concernées : Les graines de nombreuses plantes vivaces, arbres et arbustes des régions tempérées (tulipes, pivoine, myosotis, etc.) bénéficient de la stratification.
Types principaux de stress abiotiques :
Exemples chez les plantes cultivées :
Le tégument peut être :
Lors de la germination, le tégument se ramollit et se fissure pour laisser sortir la radicule (première racine), puis la plantule.
Rôle :
Caractéristiques :
Exemple :
Exemple concret : un pied trioïque d’érable peut produire à la fois des fleurs mâles (pollinifères), des fleurs femelles (productrices de samares/graines ailées) et des fleurs hermaphrodites, offrant ainsi une grande flexibilité reproductive à l’arbre selon son environnement.
Exemples :
Contraste : Les fleurs tubulées s’opposent aux fleurs ligulées? (avec languette plate).
Rôle :
Nombre d’organes :
Exemple :
Exemple concret : quand vous observez une tige de réséda ou de marguerite sauvage, vous verrez parfois des feuilles qui jaillissent tout autour de la tige au même niveau – c’est un verticille de feuilles, disposées comme les rayons d’une roue.
La xénogamie est un mécanisme reproductif où le pollen d’une plante féconde le pistil? d’une autre plante, favorisant l’hybridation et la diversité génétique. C’est le contraire de l’autogamie? (autofécondation?) où une plante se féconde elle-même. La xénogamie est fondamentale pour la reproduction sexuée chez de nombreuses espèces végétales et assure une meilleure adaptation aux variations environnementales.
Rôle :
Mécanismes :
Exemple :
Exemple concret : quand vous cultivez deux plants de tomates côte à côte avec des abeilles actives, la xénogamie se produit naturellement – le pollen d’une plante féconde les fleurs de l’autre, créant une descendance génétiquement riche et des fruits plus vigoureux.